quarta-feira, 13 de janeiro de 2010
terça-feira, 12 de janeiro de 2010
segunda-feira, 11 de janeiro de 2010
domingo, 10 de janeiro de 2010
sexta-feira, 8 de janeiro de 2010
terça-feira, 5 de janeiro de 2010
segunda-feira, 4 de janeiro de 2010
A interpretação
Gosto de ouvir diferentes interpretações de uma mesma obra e perceber como podem diferentes leituras de uma mesma composição estabelecer empatias completamente diferentes com o ouvinte. Sirvam-se.
domingo, 3 de janeiro de 2010
La carte du tendre - Georges Moustaki
Le long du fleuve qui remonte
Par les rives de la rencontre
Aux sources d'émerveillement
On voit dans le jour qui se lève
S'ouvrir tout un pays de rêve
Le tendre pays des amants
On part avec le cœur qui tremble
Du bonheur de partir ensemble
Sans savoir ce qui nous attend
Ainsi commence le voyage
Semé d'écueils et de mirages
De l'amour et de ses tourments
Quelques torrents de médisance
Viennent déchirer le silence
Essayant de tout emporter
Et puis on risque le naufrage
Lorsque le vent vous mène au large
Des îles d'infidélité
Plus loin le courant vous emporte
Vers les rochers de la discorde
Et du mal à se supporter
Enfin la terre se dénude
C'est le désert de l'habitude
L'ennui y a tout dévasté
Quand la route paraît trop longue
Il y a l'escale du mensonge
L'auberge de la jalousie
On y déjeune de rancune
Et l'on s'enivre d'amertume
L'orgueil vous y tient compagnie
Mais quand tout semble à la dérive
Le fleuve roule son eau vive
Et l'on repart à l'infini
Où l'on découvre au bord du Tendre
Le jardin où l'on peut s'étendre
La terre promise de l'oubli
l'oubli
l'oubli
....
Par les rives de la rencontre
Aux sources d'émerveillement
On voit dans le jour qui se lève
S'ouvrir tout un pays de rêve
Le tendre pays des amants
On part avec le cœur qui tremble
Du bonheur de partir ensemble
Sans savoir ce qui nous attend
Ainsi commence le voyage
Semé d'écueils et de mirages
De l'amour et de ses tourments
Quelques torrents de médisance
Viennent déchirer le silence
Essayant de tout emporter
Et puis on risque le naufrage
Lorsque le vent vous mène au large
Des îles d'infidélité
Plus loin le courant vous emporte
Vers les rochers de la discorde
Et du mal à se supporter
Enfin la terre se dénude
C'est le désert de l'habitude
L'ennui y a tout dévasté
Quand la route paraît trop longue
Il y a l'escale du mensonge
L'auberge de la jalousie
On y déjeune de rancune
Et l'on s'enivre d'amertume
L'orgueil vous y tient compagnie
Mais quand tout semble à la dérive
Le fleuve roule son eau vive
Et l'on repart à l'infini
Où l'on découvre au bord du Tendre
Le jardin où l'on peut s'étendre
La terre promise de l'oubli
l'oubli
l'oubli
....
sábado, 2 de janeiro de 2010
sexta-feira, 1 de janeiro de 2010
Jane B.
Signalement
Yeux bleus
Cheveux châtains
Jane B.
Anglaise
De sexe féminin
Âge : entre vingt et vingt et un
Apprend le dessin
Domiciliée chez ses parents
Yeux bleus
Cheveux châtains
Jane B.
Teint pâle, le nez aquilin
Portée disparue ce matin
À cinq heures moins vingt
Yeux bleus
Cheveux châtains
Jane B.
Tu dors au bord du chemin
Le couteau de ton assassin
Au creux de tes reins
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